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Belgique – Compte rendu de la conférence sur le Fonds Européen pour les réfugiés

Rosanna Marcato - Service immigration et promotion des droits de citoyenneté ( Venise)

La Conférence est le moment d’où examiner les succès, d’où on analyse les faiblesses des premiers trois ans de fonctionnement de cet instrument, avec l’objectif donc de recueillir des opinions et des contributions, des réflexions sur son futur. A travers les suggestions sorties pendant la conférence, des propos verront rédigés pour la deuxième phase du projet qui devra répondre à ses objectifs de solidarité et assurer un valeur –plus européen aux actions développées au camp d’asile.

Participer à cette conférence a été important pour deux motifs ; pour comprendre que dans le camp de l’asile un air de restriction par rapport à l’accueil se respire dans toute l’Europe, surtout dans ces états qui jusqu’il y a un temps étaient considéré comme beaucoup accueillants( France, Angleterre, Allemagne) ; pour avoir la certitude que dans le panorama des expériences portées à Bruxelles, l’Italie a représenté un point de grand intérêt pour tous les participants pour le travail structurel fait avec la création du Plan Nationale d’Asile (PNA) 285), exemple unique dans toute l’Europe d’emploi du Fer (Fonds Européen pour les Réfugiés) en termes d’implémentation d’un service au niveau nationale.

L’Italie a demandé que cette expérience puisse être consolidé et l’a fait aussi à travers la voix du sous-secrétaire Mantovano , présent à l’ouverture des travaux. Mantovano a souligné l’importance du Fer et aussi quelques difficultés que son poste de travail a rencontré.
Important dans le tout, c’est la déclaration de l’engagement à conclure le cadre normatif, dans le semestre de la présidence italienne, avec l’adoption de deux directives : celle relatif à la qualification de réfugié et à la protection subsidiaire et celle sur le standard minimum des procédures pour la reconnaissance du statut de réfugié.

L’exemple de Venise
Dans le cadre de projets financés par le Fer l’Italie a choisi de porter le projet de Venise comme exemple de bonne pratique produite à l’intérieur du réseau du PNA. Notre projet a reporté un intérêt considérable de la part de tous les participants et a été mentionné par le Commissariat dans la session plénière finale , comme « vraiment remarquable » pour la complétion de son intervention et pour les innovations professionnelles qu’on utilise dans l’agir quotidien.
On est indubitablement fier du succès et des reconnaissances reçues aussi si on est absolument consciemment que ce qu’on fait n’est pas encore assez. Pour chaque demandeur d’asile qu’on accueille dans les projets du PNA, dix restent dans la rue et les perspectives pour l’an prochain ne sont pas rosâtre. Les financements, en manque des décrets implémentés ne sont pas encore assignés et on fera probablement recours au fonds d’émergence. 2004 s’envisage alors encore comme un an de transition vers le système National d’Accueil et vers les nouveaux procédures d’asile.
Les représentants de la Commission ont du prendre acte quand même de la qualité du travail fait en Italie et donc du bon emploi des fonds attribués.
On espère vraiment que notre engagement et notre travail sert à consentir de continuer la route entreprise pour pouvoir développer des interventions toujours plus valables de soutien au droit d’asile et aux personnes qui demandent de la protection.
Venise continue ainsi son rêve de pouvoir devenir un point de référence qualifié autant croyant que soutenir le droit d’asile soit soutenir une grande bataille de civilité.