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Citoyenneté italienne – Peut-elle aussi être obtenue par les fils naturels?

Réponse– Le droit de famille dans le système juridique italien, à partir de le fameuse réforme de 1975, reconnaît clairement la parité des droits entre les fils naturels et les fils légitimes. Ces droits sont les mêmes soit que la personne naisse en dehors de l’union du mariage, soit qu’elle naisse pendant l’union du mariage, soit qu’elle naisse avant le mariage, soit après le mariage. Il n’y a aucune différence pour la loi, ni du point de vue de l’heritage, ni des droits de l’état civil.
Ceci est valable, évidemment, même du point de vue de la citoyenneté.

Au cas d’une naissance pendant le mariage il y a présemption légale de paternité et maternité qui rend automatique le fait que le fils né est considéré à tous les effets fils des deux personnes unies comme mari et femme. Au contraire, au cas d’une naissance en dehors du mariage, il n’y a pas de cet automatisme, dans le sens que tous les deux parents ont droit à reconnaître le fils. Mais il y a aussi le cas où, par exemple, le père ne reconnaît pas le fils dès la naissance et donc il n’y a pas automatisme d’identification du père en tant que tel.

Dans ce cas il est possible de commencer une procédure – qui peut être faite à tout moment et même lointaine dans le temps – pour l’identification du fils naturel. Le père, à tout moment, peut reconnaître le fils et c’est une chose très simple qui se fait par voix administrative à condition qu’il y ait le consentement de la mère. Vice-versa, s’il n’y a pas de consentement maternel, il est nécessaire de promouvoir une action légale pour pouvoir vérifier la paternité.
En tout cas, le père naturel peut reconnaître le fils naturel et ceci entraîne toutes les conséquences prévues par la loi qui reconduisent à l’état de fils d’une personne déterminée. Donc si le père est citoyen italien, l’effet légal de la reconnaissance est celui de permettre automatiquement le status civitatis du fils c’est à dire de la vérification de la citoyenneté italienne dès la naissance, sur la base de règles générales établies par la loi n. 91 de 1992 en matière de citoyenneté.
Je trouve donc que Je peux donner une réponse sereine et positive à cette question.