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Dispositions pour l’entrée des citoyens des nouveaux pays membres de l’Union EuropéenneNouvel article

Voyons de près la situation pays par pays.
L’Irlande a annoncé que pour le moment ellle n’appliquera pas de sanctions.
La Grande Bretagne a annoncé que le gouvernement Blair veut favoriser cette force de travail vue l’économie en expansion et la pleine occupation. Mais pour les deux premières années les nouveaux travailleurs n’auront pas d’assistance publique et seront obligés à l’inscription sur un registre de travail.
Allemagne et Autriche veulent utiliser tous les sept ans. A’ partir du 1er mai les nouveaux travailleurs devront posséder un pds en cours de validité. En pratique rien ne changera par rapport aux normes actuelles qui prévoient l’autorisation à l’entrée par des flux migratoires de manière équivalente au système italien et donc à la loi Turco-Napolitano.
La Hollande n’a pas adopté une décision finale. Le gouvernement n’a pas exclu la possibilité d’un quota maximal de 22.000 travailleurs.
Le Danemark et la Suède ont déclaré de ne pas vouloir créer des barrières aux nouveaux migrants, mais des mesures restrictives seront prises pour éviter un accès automatique au système d’assistance sociale. En pratique ces deux pays veulent se défendre des soi-disant touristes du welfare c’est-à-dire des personnes qui pourraient utiliser la liberté de circulation pour constituer un bref rapport de travail et successivement bénéficier des mesures d’assistance sociale pendant toute la durée prévue par les lois.
France, Belgique, Espagne et Portugal semblent orientées à utiliser une période de deux ans pour, ensuite, vérifier la possibilité de nouvelles restrictions. Des accords bilatéraux ont été prévus avec la Pologne, car elle pourrait commencer avant les autres pays avec cette liberté de circulation
L’Italie ne s’est pas encore prononcée. Le député Borghezio du parti Lega Nord a demandé qu’on “bloque les entrées pour au moins deux ans”. Pendant cette période les nouveaux immigrés ne pourraient pas bénéficier de l’assistance sociale. On prévoit des accords bilatéraux.
Le Finlande, par un projet de loi, prévoit une restriction de deux ans sauf que pour les migrants en provenance de Malte et Chypre. D’après ce projet de loi, les immigrés n’auraient pas tous les bénéfices du système social si dépourvus d’un permis de travail valide et de la résidence finlandaise.
La Grèce semble s’orienter vers une période de transition de deux ans. Les bénéfices pour les travailleurs au chômage seront donnés aux travailleurs légaux qui payent les taxes. On n’a pas prévu d’accords bilatéraux.

On vient donc de voir que chaque pays membre a pris des positions différentes, mais il n’est pas a exclure qu’il y aura des consultations pour coordonner les choix et pour harmoniser ces choix. Incroyablement il y aurait une situation paradoxale; les pays membres qui veulent adhérer immédiatement à la liberté de circulation permettraient automatiquement la liberté de circulation vers les pays qui ont décidé des restrictions par la période de transition.
Nous ne manquerons pas de donner des renseignement plus précis dès que possible. C’est une situation intéressante qui fort probablement créera des problématiques différents pour son application.