Il est vrai que la présentation de la demande pour obtenir la citoyenneté italienne ne démontre pas en elle même la citoyenneté car elle doit être vérifiée. Mais au moment où elle est vérifiée on constatera que cette femme est italienne et n’a pas besoin de pds.
Mais avait-elle donc besoin d’une permission spéciale pour pouvoir travailler régulièrement ?
On se permet de dire que si une personne est italienne depuis la naissance elle n’a pas besoin d’autres permission pour travailler régulièrement même en présence d’un pds pour attente de citoyenneté.
Exemple pratique : après trois mois ou même trois ans de travail et pendant l’attente de la vérification que le travailleur est italien on ne peut pas l’accuser de ne pas être italien et donc on ne peut pas appliquer des sanctions pour travail irrégulier ou autres sanctions à l’employeur, car le travailleur est italien.
Il semble vrai que le pds pour attente de citoyenneté ne donne pas droit au travail, mais au moment où la citoyenneté est vérifiée elle a valeur rétroactive.
La mesure de vérification de la citoyenneté a une valeur déclarative : elle constate, vérifie et déclare une situation préexistante. Ce n’est pas un droit ultérieur, mais un droit existant depuis la naissance.