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Le cas d’une jeune femme régulière du Nigeria expulsée après avoir été enlévée de son travail

Réponse– Et voilà. Une autre femme qui s’est comportée de manière tout à fait légitime et qui est obligée “à faire la queue” au Consulat italien au Nigéria pour essayer de formaliser une procuration (délégation autentifié par le Consul) pour un avocat en Italie pour présenter recours dans les 60 jous à partir de la date d’expulsion. Cette dame devra ensuite attendre que le recours soit décidé par le tribunal compétent, attendre que la mesure soit déposée et notifiée en copie autentifiée à l’autorité de Police et enfin que le Préfet dispose le nulla osta pour la ré-entrée en Italie. Et tout cela doit être officialisé à la représentance consulaire italienne compétente. Les endommagements certainement ne seront jamais remboursés.

Probablement tout cela est arrivé, en bonne foi, par une erreur. On peut dire que cela est arrivé à cause de néglicences de la part des autorités compétentes. Certes, il n’est pas possible de faire passer une règle qui n’existe pas dans nos lois. On ne peut pas considérer que l’indisponibilité immédiate du permis de séjour entraîne automatiquement l’expulsion. Cela entraîne qu’un étranger régulièrement séjournant devient clandestin. Cette sanction, par conséquent, n’est pas prévue par la loi et donc on ne peut pas faire ce qui n’est pas prévu par la loi.