Per la libertà di movimento, per i diritti di cittadinanza

Ou va le droit d’asile en Italie?

Entretien avec G. Borghi, Assesseur Politiques Sociales Region Emilia Romagna

Première question qu’on a posé, d’où vient le choix de la ville de Bologna comme lieu d’où activer la première convention nationale sur le droit d’asile…

… Il s’agit d’un choix proposé d’Ics, Amnesty International, du réseau d’organisations non gouvernementale qui travaillent sur les migrants et les droits. La ville de Bologne (administré par le centre-droite) l’année dernière était probablement le seul lieu clé qui n’avait aucun type de projet dans le cadre du Programme Nationale d’Asile. Tout considéré une décision cohérente avec ce qui se passe au niveau nationale après l’approbation de la nouvelle loi sur l’immigration qui de fait appauvrit le thème des réfugiés. Je rappelle que nous sommes le seul pays de l’union européenne qui n’a pas encore une normative organique sur l’asile. Si possible, après la Bossi-Fini , les choses se sont aggravées. D’un côté les temps d’attentes pour la reconnaissance du statut de réfugié sont très long, dans certains cas des suspensions se sont vérifiées et des convocations de la part de la commission centrale d’examen. On a des incertitudes par rapport aux contributions de première assistance distribué par les préfectures et souvent ils n’ont pas les renouvelés des permis de séjours pour raison humanitaire. Ce qui est entrain de se passer dans notre pays (je pense aux derniers débarquements en Sicilia, malheureusement un exemple très significatif) est de pousser jamais au centre de la confrontation cette spécificité non tellement politique mais non plus institutionnel. Parmi les personnes qui débarquent dans notre pays, il y a beaucoup de demandeurs d’asile, de personnes qui fuient des lieux où la situation leur est évidemment insoutenable.

Au niveau institutionnel sûrement, pendant les derniers années, on aurait pu avoir fait plus, mais ce n’était pas le cas. Aujourd’hui , en présence d’une nouvelle normative que notre région, mais non seulement, a jugé à son temps inacceptable et a essayé de contraster dans toutes les sièges institutionnels , il s’est créé une situation qui rend une vraie confrontation sur ce thème toujours plus inaccessible. Dans ce contexte essayer de faire le point, de réorganiser une initiative politique d’institutions locales, de régions, d’associations me paraît très utile. Je dois dire que des adhésions à l’appel présenté à Bologne le 12 octobre , repartir du bas est hypothétique et réalisable, peut-être à côté d’une initiative parlementaire de la part des forces de l’opposition. Au moins le thème, nous devons le pousser. Mais ceci ne suffit pas. Aussi au niveau locale on se compète pour les responsabilités des villes et régions. Dans ce sens, je retiens important activer des initiatives d’accueil qui peuvent faire face, aussi dans un cadre nationale négative, autant que possible dans les meilleurs des façons.

Et après la rencontre du 12 octobre la Caravane pour le droit d’asile et contre toutes les guerres passera plusieurs villes, comme Treviso, Venise et Padou pour les jours 15, 16, 17 octobre.